« Je veux qu’on se souvienne de moi comme quelqu’un qui faisait bouger les choses. Grâce au soutien de personnes comme vous et moi, CARE propose un autre modèle aux moins fortunés du monde entier. »


« Je veux qu’on se souvienne de moi comme quelqu’un qui faisait bouger les choses. Grâce au soutien de personnes comme vous et moi, CARE propose un autre modèle aux moins fortunés du monde entier. »
“When I look back on my life, I want to be remembered as someone who created spaces for opportunities. Through supporters like you and me, CARE is providing a different model to the poorest people on the planet.”
Dans son abri au...
Les femmes et les...
Les violences faites...
Pour la première fois de notre histoire, le nombre de personnes déplacées dans le monde a franchi la barre des 100 millions, selon des données récentes du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés.
Les chiffres montrent qu’il importe d’investir dans l’égalité des genres au sein des systèmes de santé pour mieux se préparer à la prochaine pandémie. En mettant à profit les investissements réalisés avant l’éclosion de la COVID-19, les femmes ont trouvé des moyens ingénieux de faire tourner le système.
Lorsque les combats ont éclaté en Ukraine le 24 février dernier, le drame humain s’annonçait inévitable. Depuis, des millions de civils ont dû quitter leur foyer; des infrastructures essentielles ont été anéanties; des villes entières se sont retrouvées sans nourriture, sans eau et sans électricité; et de nombreuses personnes ont perdu la vie.
La sécheresse qui ravage la Somalie menace la scolarité de 420 000 enfants, car elle détruit des moyens de subsistance et oblige des milliers d’enfants à lutter chaque jour pour se nourrir. De ce nombre, 189 000 jeunes filles sont menacées par des coutumes rétrogrades comme le mariage précoce et la mutilation génitale. Les 231 000 garçons risquent quant à eux d’être recrutés pour mener des activités dangereuses et illégales qui mettront en péril non seulement leur vie, mais aussi la sécurité du pays.